Ça faisait longtemps que ce n’était pas arrivé mais ce dimanche nous avons deux semaines de photos à regarder. Et comme toujours une bonne excuse pour ne pas avoir publié la semaine passée. Nous étions en Belgique pour un week-end de retrouvailles avec nos chers amis. Et les semaines filent encore à vive allure avec la fin de l’année, les différents spectacles et le travail qui nous impose un rythme soutenu après la légèreté du mois de mai.
Série – Ma semaine en Instagram – Semaine 24
Il y a des semaines plus éprouvantes que les autres. La dernière était compliquée, avec un petit moral et un peu de mal à relever la tête. L’anniversaire de notre petit Ange est à chaque fois un cap difficile à passer, encore plus cette année où les jours de la semaine étaient les mêmes qu’il y a onze ans. Heureusement le week-end est arrivé, avec une visite improvisée très sympa, mon spectacle de danse et plein de matchs de Coupe du monde. Vous le savez, j’aime le foot et je trouve que c’est une vraie fête. On s’est fixé un petit challenge sportivo-culinaire qui nous amuse beaucoup. On mange des spécialités culinaires en fonction des matchs et des pays qui jouent le midi ou le soir. Je ferai peut être un billet sur le sujet. Voici les images de la semaine.
J’ai commencé l’italien et ça me plait bien.
Quand les enfants font le menu du mercredi midi, on n’est pas au bout de nos surprises ! #EncornetsALaPlancha
Première scène et grand grand plaisir. #Broadway
Un papa bien gaté pour la fête des pères.
Leur Papa
Mes enfants ont un super Papa. Et je ne dis pas ça parce que c’est moi qui l’ai choisi. Je parle souvent des enfants sur le blog, quelques fois de moi, et rarement de lui. Alors aujourd’hui, pour la Fête des Pères, laissons-lui la place d’honneur.
Celui qui se lève jusqu’à 10 fois par nuit mais qui est incapable d’entendre les bébés pleurer entre 6h30 et 7h30, c’est lui.
Celui qui répond toujours «Des pâtes !!» à «Qu’est-ce-qu’on mange ce soir ?», c’est lui.
Celui que me chantait «Wo-ooo-oo-ooo je t’aime à l’algérienne…*» et qui le chante maintenant aussi aux enfants, c’est lui.
Celui qui aimerait bien, un jour, faire un voyage dans la Cordonnière des Andes, c’est toujours lui.
Celui qui me dit, très sérieusement «Tiens, Sardou a repris une chanson de Louane…», c’est encore lui.
Celui qui réussit très fièrement à (très bien) coiffer sa fille tous les matins, c’est lui aussi.
Celui qui est dans mon cœur depuis 15 ans maintenant, c’est lui.
Celui qui aurait adoré allaiter ses enfants, c’est un peu flippant marrant et c’est lui.
Celui qui répond «Vous m’avez dit de dire Hardi alors je dis Hardi !» quand on inverse les lettres de notre nom de famille, c’est lui et je pleure de rire à chaque fois.
Celui qui a fait que nous avons surmonté la perte d’un enfant, c’est évidemment lui.
Celui qui me doit environ 1 200 euros d’arriérés de coiffure, c’est économiquement lui (6 mm derrière, 9 mm dessus).
Celui qui invente tellement d’expressions qu’il serait impossible de toutes les citer ici, c’est drôlement lui.
Celui qui croit que quand on a un cousin germain on a aussi une tante germaine, vous vous doutez que c’est lui.
Celui qui accepte de passer ses vacances à La Porcherie malgré ses convictions religieuses, c’est pieusement lui.
Celui qui fait les meilleures keftas du monde, c’est boulettement lui.
Celui qui fait 500 photos par mois de ses enfants et qui ne les édite jamais, pfffff c’est lui.
Celui qui envoie un smiley bisou à son chef, vous pouvez rire, c’est lui !
J’en oublie surement, mais avec ceci vous venez de découvrir un homme extraordinaire, un Papa formidable. Le Papa de mes enfants.
*Si vous n’avez pas reconnu, c’est le grand classique de Frédéric François.