Vous vous souvenez de ma bonne résolution pour 2015 ? Mais si, rappelez vous, j’en parlais ici. Depuis début janvier, et ça tombe bien car c’était le top départ de ladite résolution, la RATP a eu la bonne sublime génialissime idée de rajouter pas moins de 30 services de bus quotidiens sur la ligne que j’emprunte tous les jours pour aller au travail. Du coup, la résolution, c’était un peu «finger in the nose» pour moi cette année et je vous jure sur mon Pass Navigo que je n’étais pas du tout au courant de ces bus supplémentaires avant de la choisir.
Et comme ne pas râler n’est pas français, je me sens quand même un peu obligée de faire un article sur quelque chose qui continue de m’énerver, pas tous les jours mais presque. Ce sont les autres. Tous ces gens, qui comme moi s’engouffrent dans les bus bondés matin et soir. Sur le lot, ils ne sont pas tous à blâmer, heureusement. Mais je trouve quand même très souvent LA personne qui va faire LA chose qui va m’énerver le temps du trajet.
Donc avant, avec ce bus qui mettait 3 heures à arriver et qui quelques fois ne s’arrêtait même pas j’étais énervée avant de monter. Maintenant, grâce à la résolution 2015 (et aussi à tous ces bus que je peux louper car le suivant sera là dans 4 minutes) je ne suis plus énervée quand je monte dans le bus. C’est après que ça se corse.
Voici donc la liste du voyageur type qui me sort par les yeux :
L’éléphant, qui prend la place de deux personnes avec soit un énorme sac à dos, soit un immense sac à main porté à l’épaule.
Le paresseux, qui s’appuie sur la barre, empêchant la plupart des personnes qui l’entourent de se tenir. Ce même voyageur ne faisant bien sur aucun effort pour se déplacer de 5 cm pour vous laisser ternir la barre et par la même occasion éviter de faire un strike à chaque coup de frein.
La sans-gène (parce que j’ai remarqué que ce sont principalement les femmes qui font ça) qui utilise le siège à côté d’elle pour poser dessus son gros sac à main, son sac de sport, ses sacs après une séance shopping ou même ses sacs de courses. Bien sûr, haussement de sourcils et soufflement quand on ose leur faire signe qu’on aimerait bien s’asseoir.
Le relou qui s’installe systématiquement côté couloir, même quand la place côté fenêtre est libre. Entraînant bien évidemment les mêmes réactions que la personne citée précédemment.. Et une fois sur deux, ce voyageur descend après moi donc je dois le faire lever deux fois, tellement pratique.
La grande bouche (là encore, j’ai remarqué que c’était quasiment toujours les femmes qui le faisaient) qui à peine entrée dans le bus, demande en hurlant presque «Vous pouvez avancer vers le fond y a des gens qui voudraient monter !».
Le lecteur assidu qui, malgré un bus rempli à ras bord et le manque de place évident prend ses aises et fait comme s’il était tout seul : il sort son journal ou un magazine qu’il lit tranquillement dans l’allée bondée.
Il y a un principe. Ces gens là, je les croise souvent, mais rarement simultanément. Heureusement…
Et vous, quels comportements vous exaspèrent dans les transports en commun ?
(Photo du sac à dos trouvée sur le site Notre Petit Grain d’Asie)
mimi says
Provinciale oblige et en plus campagnarde, je ne prends jamais les transports en commun 🙂
julzyjulz says
Aaah #LesGens ! (#soupir) je prends depuis 5 ans le RER B + RER C, depus peu RER B + RER A.
Quand le signal sonore de fermeture des portes retentie et qu’on se précipite pour entrer dans le Wagon et que les gens qui courent et entrent avant toi s’arrêtent juste à l’entrée du Wagon, et restent plantés là… comme si « ah c’est bon j’y suis arrivé ! » mais ne se préoccupent pas des autres qui arrivent derrière… Et donc embouteillage violent sur le coup…. Aaaaaah ces gens là !!!
nath says
Rer je ne connais pas
train 5 fois en 40ans
et le bus pris 3semaines dans mon ancienne vie car panne de voiture j en ai chopé la coqueluche.
alors vive mon village de 400hab hihi