Il y a bien longtemps que j’ai envie de publier un billet sur mon restaurant coréen préféré. Le déjeuner de l’autre jour a fini de me convaincre de vous en parler, de vous le présenter et de vous donner envie d’y aller si vous n’êtes pas trop loin. Ce restaurant, il y a de nombreuses années que nous y allons. J’y suis allée en premier avec mes parents, puis je l’ai fait connaitre à des
amis et maintenant nous y allons régulièrement, dès que surgit une envie de mets coréens, envie quasiment impossible à calmer sans mettre les pieds sous la table de Kohyang. Entre temps, la direction du restaurant a changé, la carte est quelque peu différente mais les plats sont toujours aussi bons. Et depuis les fenêtres nous avons une vue imprenable sur l’école maternelle de mon enfance, ce petit rappel nostalgique apporte une touche plus que savoureuse à chaque repas que j’y passe.
L’ambassade de Corée du Sud est située dans le quinzième arrondissement et ce restaurant est souvent le lieu de rencontre de diplomates et de Coréens recherchant les saveurs typiques de leur pays. Kohyang est ouvert du mardi au dimanche, midi et soir et il est bien souvent difficile de trouver une place si on n’a pas réservé. Voici quelques raisons qui en font déjà une excellente adresse.
Chez Kohyang, c’est une cuisine familiale et traditionnelle de Corée qui vous est servie. Le patron est charmant et très sympathique, il discute très facilement avec les gens, offrant conseils et anecdotes que j’ai, à chaque fois, plaisir à écouter. À vrai dire, tout le personnel est agréable, ils ont tous la retenue et la discrétion qu’ont les Coréens dans mon imagination. On y mange avec des petites baguettes en inox, fines et délicates.
La carte est très variée, exotique et follement alléchante pour les curieux comme nous. Entrées, soupes et
plats de viande et de poisson typiquement coréens sont proposés, il ne faut pas hésiter à demander ce que contiennent les plats, comment ils se mangent ou s’ils sont pimentés ou pas. Il est assez facile de sortir des traditionnels bibimbap (plat à base de riz, de légumes, de viande et d’oeuf, servi dans un bol en pierre chaude) ou bulgogi (barbecue de viande marinée), plats coréens les plus connus. Ceux proposés chez Kohyang sont délicieux et c’est bien souvent par ceux là que commence la relation amoureuse avec sa carte. Vous y trouverez également de délicieuses entrées : raviolis, galettes végétariennes ou aux fruits de mer, seiche sautée, ailes de poulet frites, entre autres. Il y a aussi notre entrée, celle que nous prenons à chaque fois,
celle qui me faisait tant envie quand j’étais enceinte des Twins : la raie crue à la sauce piquante. Du côté des plats, il sera difficile de choisir entre les différents ragouts, les poissons, les fruits de mer ou les viandes. Les plats végétariens ont aussi leur place à la carte avec du tofu à toutes les sauces. Nous prenons souvent le bibimbap, que nous mangeons maintenant comme de vrais Coréens sur les conseils du patron. Il faut bien mélanger tous les ingrédients après avoir versé dessus quelques goutes
de sauce pimentée. Et les accompagnements apportés en même temps sont un vrai régal de minutie. Kimchi, petites pommes de terre, radis blanc râpé et mariné, épinards. À chaque fois ils sont différents et c’est délicieux. Quelques desserts à découvrir également, mention très spéciale à la glace au thé vert que j’adore. Les boissons coréennes sont aussi à la carte, alcools traditionnels et bières vous permettront de découvrir de nouvelles saveurs. Sans oublier les thés qui là encore sauront vous surprendre.
À première vue, les prix peuvent sembler un peu élevés mais les assiettes sont vraiment bien remplies et la qualité est toujours au rendez-vous. C’est bon et le prix payé est juste.
Kohyang
6 rue du Général Estienne
7015 Paris
01 40 59 80 45
Métro Charles Michel (Ligne 10) ou Boucicaut (Ligne 8)
Kohyang est sur Facebook
Je vous conseille également la lecture de cet article très intéressant sur ce restaurant, avec un joli portrait du patron !
La cuisine coréenne vous connaissez ? Vous aimez ?





Ce mercredi, nous étions invités à un déjeûner au KFC pour fêter le lancement du film Snoopy et les Peanuts, qui sort en salles le 23 décembre prochain. Ce fut l’occasion pour nous de déguster les produits du spécialiste du poulet frit, que nous connaissions et apprécions déjà beaucoup. Animé par l’équipe de com de la chaîne de restauration rapide, lors de ce déjeuner nous avons eu l’occasion de discuter de plein de choses et c’était très intéressant. Nous avons découvert l’histoire du Colonel Sanders et de la fameuse recette de poulet qu’il a commencé à préparer dans sa station service du Kentucky. Une véritable success story à l’américaine. Sa recette est inchangée depuis 73 ans et le poulet est toujours préparé avec les gestes méticuleux qui étaient les siens à l’époque. Nous avons mangé les traditionnels tenders de poulet, toujours aussi bons. Et le dessert glacé du moment, le Kream Ball saveur Rocher est juste à tomber par terre !
Et Snoopy dans tout ça me direz-vous ? J’y viens… Pour la première fois, KFC va travailler sous licence pour les cadeaux accompagnants les menus enfant, les Tasty Box. Et pour cette grande première, ce sont les visuels du dernier film d’animation Snoopy qui sont utilisés et ils sont absolument charmants. Adil s’est aussi souvenu que KFC était partenaire de l’équipe de France de football (la pub, c’est plus facile à apprendre que les devoirs comme on dit) et il a longuement parlé de ça avec nos hôtesses, qui étaient je crois particulièrement charmées et étonnées par mon petit garçon qui savait très bien de quoi il parlait. KFC es
t donc partenaire de la FFF (Fédération Française de Football) et organise, à chaque mi-temps des matchs de l’équipe de France un concours de tirs dans un énorme bucket (la boite de morceaux de poulets emblématique de la marque). «En plein dans le bucket», c’est ce challenge qui permet de gagner un voyage aux États-Unis. Après avoir répondu à un questionnaire sur
Cette journée fut aussi l’occasion de nous rendre à une petite exposition à laquelle je voulais emmener Adil depuis quelques semaines. The Quest for the Absolute, quand les super-héros se mettent à nu face à une nature sauvage, imposante et puissante. Réalisés par Benoît Lapray, ces tirages photos montrent Superman, Spiderman, Wolverine et tant d’autres du côté sombre du héros, dans la solitude la plus absolue.
Déposés dans des paysages grandioses et impressionnants, ils en deviennent tout petits, presque fragiles, mais toujours aussi beaux. L’expo présente une quinzaine de photomontages dans la Galerie Lacroix, en plein cœur de Belleville. Les photos sont splendides, disponibles à la vente mais un peu hors budget pour nous. Vous y découvrirez aussi de beaux ouvrages sur tous les héros de Marvel et même un Superman qu’on aimerait avoir sous la main plus souvent pour nous protéger… Vous avez jusqu’au 20 décembre pour aller y faire un tour. Adil a bien aimé mais il a trouvé ça trop court ! Les super-héros c’est un peu comme le chocolat, y en a jamais assez !
Se poser dans ce quartier, y prendre un expresso et faire deux parties de baby-foot, voila qui concluait parfaitement cette escapade parisienne. Quand nous avons demandé une place en crèche pour les mercredis, notre envie était de passer du temps avec Adil ces après-midi. L’emmener au sport, faire de la pâtisserie puis goûter à la maison, aller au cinéma… Nous avons déjà bien profité de ces moments, à deux ou à trois avec lui et c’est toujours un vrai plaisir de le voir s’épanouir et avoir ses parents pour lui tout seul, une petite bulle dans ces semaines chargées. Hier, nous avons passé une après-midi entière à Paris, tous les trois et c’était vraiment très
agréable. «Oser» retourner à Paris, prendre le métro, se rendre dans des lieux très fréquentés, ça ne m’a pas pris beaucoup de temps, de le faire seule mais un peu plus pour y emmener Fiston à nouveau. C’est facile de se dire qu’on n’a pas peur, que d’avoir peur ce serait de les faire gagner, je trouve qu’en tant que parents on a une responsabilité supplémentaire vis à vis de nos enfants dans ces cas là, la responsabilité de décider pour eux si la peur doit ou pas nous bloquer, nous restreindre. Alors dans ces moments où je doute un peu, je me dis que de trop réfléchir ou de trop y penser ne sert à rien à d’autre que de se faire des nœuds dans le dos et je fais comme si tout allait bien….







Nous avons ensuite laissé nos créations se reposer (et sécher) pendant que nous chaussions nos superbes lunettes 3D à l’effigie du film. Bien installés dans une salle agréable, nous avons découvert le dernier né des studios Sony Pictures. Voulez-vous le pitch ?