Ce mercredi, nous étions invités à un déjeûner au KFC pour fêter le lancement du film Snoopy et les Peanuts, qui sort en salles le 23 décembre prochain. Ce fut l’occasion pour nous de déguster les produits du spécialiste du poulet frit, que nous connaissions et apprécions déjà beaucoup. Animé par l’équipe de com de la chaîne de restauration rapide, lors de ce déjeuner nous avons eu l’occasion de discuter de plein de choses et c’était très intéressant. Nous avons découvert l’histoire du Colonel Sanders et de la fameuse recette de poulet qu’il a commencé à préparer dans sa station service du Kentucky. Une véritable success story à l’américaine. Sa recette est inchangée depuis 73 ans et le poulet est toujours préparé avec les gestes méticuleux qui étaient les siens à l’époque. Nous avons mangé les traditionnels tenders de poulet, toujours aussi bons. Et le dessert glacé du moment, le Kream Ball saveur Rocher est juste à tomber par terre !
Et Snoopy dans tout ça me direz-vous ? J’y viens… Pour la première fois, KFC va travailler sous licence pour les cadeaux accompagnants les menus enfant, les Tasty Box. Et pour cette grande première, ce sont les visuels du dernier film d’animation Snoopy qui sont utilisés et ils sont absolument charmants. Adil s’est aussi souvenu que KFC était partenaire de l’équipe de France de football (la pub, c’est plus facile à apprendre que les devoirs comme on dit) et il a longuement parlé de ça avec nos hôtesses, qui étaient je crois particulièrement charmées et étonnées par mon petit garçon qui savait très bien de quoi il parlait. KFC est donc partenaire de la FFF (Fédération Française de Football) et organise, à chaque mi-temps des matchs de l’équipe de France un concours de tirs dans un énorme bucket (la boite de morceaux de poulets emblématique de la marque). «En plein dans le bucket», c’est ce challenge qui permet de gagner un voyage aux États-Unis. Après avoir répondu à un questionnaire sur Facebook, quatre heureux chanceux seront tirés au sort pour tenter de marquer dans un bucket géant. Nous avions vu ce show à la mi-temps du dernier France-Brésil au Stade de France et c’était vraiment marrant. Et il y avait eu un gagnant ! Adil a donc comme mission de s’entraîner pour participer au prochain rendez-vous en mars. Autant vous dire qu’il va y mettre tout son cœur !
Cette journée fut aussi l’occasion de nous rendre à une petite exposition à laquelle je voulais emmener Adil depuis quelques semaines. The Quest for the Absolute, quand les super-héros se mettent à nu face à une nature sauvage, imposante et puissante. Réalisés par Benoît Lapray, ces tirages photos montrent Superman, Spiderman, Wolverine et tant d’autres du côté sombre du héros, dans la solitude la plus absolue. Déposés dans des paysages grandioses et impressionnants, ils en deviennent tout petits, presque fragiles, mais toujours aussi beaux. L’expo présente une quinzaine de photomontages dans la Galerie Lacroix, en plein cœur de Belleville. Les photos sont splendides, disponibles à la vente mais un peu hors budget pour nous. Vous y découvrirez aussi de beaux ouvrages sur tous les héros de Marvel et même un Superman qu’on aimerait avoir sous la main plus souvent pour nous protéger… Vous avez jusqu’au 20 décembre pour aller y faire un tour. Adil a bien aimé mais il a trouvé ça trop court ! Les super-héros c’est un peu comme le chocolat, y en a jamais assez !
Se poser dans ce quartier, y prendre un expresso et faire deux parties de baby-foot, voila qui concluait parfaitement cette escapade parisienne. Quand nous avons demandé une place en crèche pour les mercredis, notre envie était de passer du temps avec Adil ces après-midi. L’emmener au sport, faire de la pâtisserie puis goûter à la maison, aller au cinéma… Nous avons déjà bien profité de ces moments, à deux ou à trois avec lui et c’est toujours un vrai plaisir de le voir s’épanouir et avoir ses parents pour lui tout seul, une petite bulle dans ces semaines chargées. Hier, nous avons passé une après-midi entière à Paris, tous les trois et c’était vraiment très agréable. «Oser» retourner à Paris, prendre le métro, se rendre dans des lieux très fréquentés, ça ne m’a pas pris beaucoup de temps, de le faire seule mais un peu plus pour y emmener Fiston à nouveau. C’est facile de se dire qu’on n’a pas peur, que d’avoir peur ce serait de les faire gagner, je trouve qu’en tant que parents on a une responsabilité supplémentaire vis à vis de nos enfants dans ces cas là, la responsabilité de décider pour eux si la peur doit ou pas nous bloquer, nous restreindre. Alors dans ces moments où je doute un peu, je me dis que de trop réfléchir ou de trop y penser ne sert à rien à d’autre que de se faire des nœuds dans le dos et je fais comme si tout allait bien….