le blog de Nins
Je vous l’ai déjà dit, sur twitter je rigole beaucoup. Et parfois j’en ai un peu honte, quand ce qui me fait rire n’est pas « politiquement correct ». C’est ce qui est arrivé avec ce tweet et cette fin à laquelle on ne s’attend pas du tout. Enfin pas moi !
il en a rien à foutre je pleure pic.twitter.com/0cI7iCTHhK
— JeanZouzz (@Benzouzz78) 13 septembre 2017
Je vous laisse pour aujourd’hui, et on se retrouve la semaine prochaine.
Au début du mois de juin, j’ai été invitée à une conférence pour en savoir plus sur les conserves de poissons. Je suis sure que nous avons tous dans nos placards une ou plusieurs boites de thon en conserves, de sardines à l’huile ou de maquereaux au vin blanc. C’est un produit consommé par plus de 93,2% des ménages qui leur trouvent un côté pratique, sain et naturel et qui l’estiment être d’un très bon rapport qualité/prix.
La conserve de poisson a une longue histoire en France. Les premières sardines ont été mises en conserves à Nantes dans les années 1810. Les productions en série seront lancées dès 1824. Fortes de ce savoir-faire pionnier, ce sont aujourd’hui 15 conserveries qui sont présentes sur le littoral français. Elles ont produit 346 millions de boites de conserves de poissons en 2016, essentiellement du thon, des sardines et du maquereaux. Les ressources marines sont respectées par ces professionnels qui s’attachent à ce qu’elles soient gérées durablement, en respectant la réglementation mais également en allant au delà avec des labels et certifications de conformité.
Au fil des années et des innovations technologiques et culinaires, les conserves de poissons ont su se renouveler pour s’adapter aux nouvelles attentes du consommateur. Aujourd’hui ce sont en moyenne 300 références mises à dispositions dans les rayons des magasins. Les recettes disponibles sont nombreuses et c’est un produit qui se prête très aisément à des préparations rapides ou plus élaborées.
Les nutritionnistes sont d’accord pour dire qu’une boite de conserve permet de bénéficier des bienfaits du grand large. En effet, thon, sardine et maquereau ont en commun leur belle richesse en protéines, Omega 3, vitamine D, phosphore, vitamines B12 et sélénium. Le procédé de fabrication permet ensuite de respecter les qualités intrinsèques du poisson. Le processus d’appertisation ne nécessite aucune adjonction d’additifs ni de conservateurs. Qui plus est, le chauffage à très haute température pour en stériliser le contenu dans un emballage étanche offre une très longue durée de conservation au produit.
Plus de 3 français sur 4 sont consommateurs de conserves de poissons et plus de 7 sur 10 ont des réserves de conserves chez eux. Elles sont consommées de façon régulière (une fois par mois minimum) par 9 français sur 10. Le thon est le champion des conserves, suivi par la sardine puis le maquereau. Les conserves de poissons séduisent les consommateurs pour trois raisons majeures liées à la praticité, la conservation et la disponibilité. Ils sont en effet 71% à expliquer leur consommation de conserves de poissons par le fait qu’elles sont pratiques à consommer, 64% parce qu’elles se conservent longtemps et 54% parce qu’ils en ont toujours chez eux. C’est un produit à qui ils font confiance tant sur leurs qualités gustatives, nutritionnelles et sanitaires.
Après avoir écouté ces chiffres et informations très intéressantes sur un produit que nous affectionnons beaucoup à la maison, il était temps de goûter à plusieurs mets raffinés et parfaitement mis en lumière. Croq’ maquereau et citron vert, brick thon-feta-olives vertes, boeuf mariné clouté de sardine et purée d’asperges vertes, vitello tonnato et sardine-sucrine grillée-condiment romaine et ail noir. Un vrai bonheur pour les yeux et les papilles !
Pendant longtemps j’ai cru que je n’aimais pas les sardines à l’huile parce que j’avais en tête des souvenirs de cantine du collège où nous avions parfois comme entrée une sardine baignant dans l’huile et très peu appétissante. Et comme personne n’aimait ça et passait son tour, je faisais pareil. Pourtant je me souviens que nous mangions souvent des maquereaux en entrée à la maison, mais les sardines c’était différent. Je me suis bien rattrapée maintenant, j’en achète régulièrement et nous en mangeons souvent. Je trouve que la conserve de poisson est l’ingrédient parfait en cuisine. Il peut être utilisé seul, tout juste sorti de sa boite. Les enfants mangent parfois des sardines à la cantine en entrée et elles doivent être mieux présentées qu’à mon époque car ils en raffolent. Un peu préparé, le poisson sorti de sa boite pourra sublimer un apéritif. Quoi de meilleur que des petits morceaux de pain grillé avec des rillettes de maquereaux ? C’est souvent l’un des plats de nos brunch du samedi et je ne compte plus le nombre de quiches au thon ou à la sardine que j’ai pu faire. Et ma belle-mère fait les meilleurs bricks au thon du monde, et les miennes sont classées juste derrière, en toute modestie.
Les conserves de poisson sont aussi sur le net, avec un compte twitter @ConservePoisson et un blog Conserves de Poissons pour tout savoir sur les conserves, leurs qualités nutritionnelles, les données chiffrées de la filière ainsi que des conseils et recettes. Il s’agit de la source incontournable d’informations sur les conserves de poissons.
J’espère que ce petit voyage au pays de la conserve de poissons vous aura plu. Aimez-vous ça ? En consommez-vous régulièrement ?
Un grand merci à l’Agence Adocom-RP pour cette invitation, c’est toujours un plaisir de participer à vos ateliers !
Je vous ai déjà dit la semaine dernière que j’adorais nos soirées depuis la rentrée en moyenne section ? Je vais me réjouir encore quelque temps de ce changement radical, à savoir les couchers expéditifs, sans cris, sans levers intempestifs, sans Maman pipiiiii, sans Papa j’ai soif. Les petits bras sont posés de chaque coté du corps sur la couette, les têtes tournées toutes les deux vers le même côté, les yeux presque déjà clos quand nous sortons de leur chambre. Qu’elle est douce niveau rythme de vie cette rentrée 2017. Parce que ce qui prévaut le soir a aussi son équivalent le matin. Pas de coup de speed à 8h09 quand Isaq n’a pas brossé ses dents et qu’Amel n’est pas coiffée. Jusqu’à présent tout se déroule sans accroc, pourvu que ça dure ! Cette semaine nous avons juste eu droit à un premier je veux pas aller à l’école, vendredi matin de la part d’Amel, sans doute lié à la fatigue de la reprise. La météo ne nous a pas vraiment permis de profiter du mercredi après-midi et du week-end comme il se doit mais nous avons réussi à nous occuper, entre cuisine et jeux de société, on retrouve nos marques enfermés à l’intérieur à regarder la pluie tomber dehors… Mais il reste quand même de quoi faire des photos, heureusement !
Les enfants adorent les figues !
Mardi j’avais le cafard alors j’ai ressorti une photo des vacances.
Mercredi les enfants ont découvert Gym Animo, un jeu de chez Bioviva que je vous présenterai bientôt.
Jeudi soir c’était entrecôte truffade. Le bonheur dans l’assiette au Plomb du Cantal.
Vendredi nous avons retrouvé un peu de la maison de campagne après un aller-retour express. Miam !
Et ce week-end on a fait une belle tarte aux pommes avec ces belles pommes bio !
Et demain c’est reparti pour une semaine. Je vous donne rendez-vous dimanche prochain. Belle semaine à tous !
Il y a une semaine, c’était notre anniversaire de mariage. Et c’est tout simplement à 21H54 que je me suis écriée « Hey mais ça y est je sais ce qu’on fête aujourd’hui ! » après avoir tiqué toute la journée sur la date. Les vieux couples ne sont peut être pas tous comme nous mais ce n’est pas le genre d’anniversaire auquel on pense. Et c’est donc un tweet sur le mariage que j’ai découvert hier soir dont je vais vous parler aujourd’hui. L’amour et le show réunis. L’émotion aussi. Ce marié me fait craquer !
This groom is so extra pic.twitter.com/FK6jKw7a4J
— Anda Paul (@LazyWrita) 11 septembre 2017
C’est tout pour aujourd’hui, et c’est avec un grand plaisir que je vous dis OUI, on se retrouve la semaine prochaine.
Aujourd’hui je vais vous raconter une belle histoire. Celle d’un homme portant dans son coeur un amour inconditionnel pour la campagne provençale et l’histoire de sa famille. Son enfance, il l’a passée dans le sud de la France, où le soleil ne fait pas défaut. Ses grands parents possédaient un immense verger qui regorgeait à la belle saison de fruits de toute sorte. Ces fruits, ils les mangeaient, en faisaient des gâteaux, laissaient toujours une part pour les oiseaux, et le reste, ils en faisaient des confitures. Ses souvenirs sont peuplés d’étagères remplies de pots de confitures multicolores, de gâteaux roulés, de crêpes et de tartines de confiture. La vie est passée, les anciens les ont quittés et la belle campagne a été quelque peu abandonnée. Après quelques années de questionnement, notre homme a éprouvé le besoin de retrouver une part de l’héritage familial, des chaudrons bouillonnants et des odeurs chaudes envoûtantes de son enfance. Après plusieurs années de discussions, d’échanges et d’essais, il a décidé de se lancer dans l’aventure de l’artisanat et de la reconversion professionnelle. Avec un objectif principal : créer des produits de haute qualité. Les fruits sont cueillis à maturité, la production est locale (de Provence principalement), il utilise exclusivement du sucre de canne et même des fruits sauvages, trop souvent oubliés. Cuites à l’ancienne dans des confituriers en cuivre, les confitures et gourmandises du Grand Puech sont l’assurance d’un produit de tradition et de qualité.
C’est ainsi que sont nées les Gourmandises du Grand Puech, la boutique d’un confiturier en Provence. Et j’ai le plaisir gourmand de vous présenter ces produits. Nous avons eu la chance de goûter quelques saveurs proposées au catalogue et en grands amateurs de confitures, je peux vous dire que nous n’avons pas été déçus ! Le choix est vaste et une fois que vous aurez ouvert et goûté un pot, vous voudrez en essayer un autre pour voir s’il est aussi délicieux.
En plus des confitures, les Gourmandises du Grand Puech proposent également des petits pots remplis de douceur : cara-moka, caramel demi-sel, choc-amel, pommes gourmandes au caramel demi-sel et compotée de coing.
Nous avons donc goûté quatre saveurs : pommes gourmandes, kaki de Provence, compotée de coing et tomates vertes. La texture est fine et onctueuse, le parfum délicat et la saveur subtile et fruitée. C’est exactement ce que l’on demande à une confiture mais la délicatesse de celles-ci en fait un produit de grande qualité. Tout à fait le genre de confiture que vous posez sur la table du petit déjeuner, à l’extérieur de préférence, quand vous passez des vacances d’été en famille ou entre amis.
Tous les pots sont vendus en ligne sur la boutique. Ils sont disponibles dans deux formats : en 130 grammes au prix de 3,20 € et 330 grammes au prix de 5,90€. Ce qui reste un prix très raisonnable pour un produit artisanal de grande qualité. Les colis sont généralement expédiés dans un délai de deux jours après la validation de la commande et la réception du paiement. Bien emballés, vos pots seront protégés.
Isaq a gouté et validé la saveur pommes gourmandes. En principe il lèche deux fois ses tartines avant de manger son pain. Et entre chaque léchouille, il redemande un peu de confiture. Vous voyez, le pot ne fera pas long feu avec lui !
Et vous, quel parfum vous fait le plus envie ?